Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
quand le chat n'est pas là.....
6 novembre 2012

Un week end de rêve,... ou presque... Tout à

Un week end de rêve,... ou presque...

Tout à commencé mercredi soir, l'Homme m'a rejoint au boulot, l'Infernale Progéniture était chez ses grand parents jusqu'à vendredi soir donc champ libre pour les parents. La soirée a commencé par un petit tour chez sexy center, envie de shopping... Après LA trouvaille de l'année, une robe/tunique pouvant être portée au quotidien et/ou transformée en petite tenue très sexe, genre la robe idéale quoi, le truc qui fait se sentir jolie et sexy, ma nouvelle chouchou du dressing, la robe compréhensive qui gomme les vilains défauts, et une nouvelle BD pour nous deux, nous voilà rentrés à la maison, tout contents. On a même réussi à rester zen face à l'énorme embouteillage sur la rocade, c'est dire si l'humeur était au beau fixe! Un essayage rapide de ma nouvelle robe, validé par les yeux de l'Homme qui tombent à terre, un Homme qui râle parce que j'ai voulu lire la BD en premier, et nous voilà installés tous les deux sur le canapé, prêts à baptiser mon nouveau meilleur ami/morceau de tissu. La soirée fut chaude, très chaude, faut dire que les dessins de pin up se faisant allègrement fesser le postérieur avaient donné quelques idées à l'Homme qui pourtant n'en manque pas. Les claques ont plu sur mon cul  durant de longues minutes. J'avais commis quelques erreurs les jours d'avant (dont une pipe refusée sous prétexte que nous étions sur un parking au mariage d'un collègue... j'ai encore beaucoup de mal avec l'extérieur que voulez vous...), la punition fut donc proportionnelle à la frustration de l'Homme. Mais en gentille fille (tout arrive...!), j'ai accepté la dite punition, puis la sodomie, la fellation, enfin, tout ce que Monsieur a voulu, quand on veut se faire pardonner faut donner de sa personne ma petite dame!

La journée de jeudi a été à l'avenant, les courses sans culotte, en jupe courte et en bas, l'Homme qui bichonne sa femme qui elle ne fout rien, se contentant d'être dispo quand monsieur le veut... Good day... Enfin jusqu'au soir, j'ai voulu aller me coucher avant Lui, faut dire qu'il m'avait un peu épuisée aussi... mais en voulant faire un câlin, l'Homme s'est jeté sur mon pied, sur la tranche du pied plutôt. Douleur. Pas de câlin pour la peine. Mal. Dodo.

Vendredi, boulot. Pas envie. J'en profite pour récupérer deux trois films pour la maison, je ferme tôt, l'Infernale Progéniture doit rentrer ce soir pour repartir demain matin, c'est pas qu'elle manque mais quand même, je m'y suis drôlement attachée. Et puis surtout, je ne peux plus poser le pied par terre. Vraiment pas pratique. Je me rentre donc tant bien que mal dans ma campagne, pas sure de revenir bosser le lendemain, pas sure et pas envie... J'aime bien rester à la maison avec l'Homme, je me balade à moitié à poil, on parle de cul, c'est rigolo. Ben oui, je suis une indécrottable romantique...! La soirée se passe donc en famille, et une fois l'Infernale Progéniture couchée dans notre lit l'Homme profite du canapé pour vérifier que je n'ai pas mal ailleurs. Visiblement seul le pied a été touché.

Samedi, il a fallu emmener la descendante chez ses autres grands parents. Et accessoirement voir si je pouvais aller bosser. La réponse fut négative. La route jusque chez mes parents fut rude, entre la douleur et Dorothée chantée par une enfant de 4 ans (et demi, c'est important), je me demande encore ce qui est le pire. Dorothée à 8h du mat c'est super trash... Je largue l'Infernale Progéniture, rentre dans ma voiture, allume (enfin) une clope et pêse le pour et le contre d'aller travailler. Ça prend 5 secondes en gros, pas travailler, c'est bien aussi... Je rentre. Rendez vous est pris chez le doc pour 15h, en attendant deux trois courses, un repas mitonné par l'Homme (foie gras et confit de canard... j'en mouille encore ma culotte...!), lecture, et zou, au toubib, qui me confirme que j'ai mal mais c'est normal, c'est le tendon qui a morflé. Immobilisation pendant 3 jours avec pommade et bandage. Ca devrait aller. Je passerais donc le reste de l'après midi, sur mon canapé, à regarder l'Homme ranger le garage (oui, il range le garage, je le garde...). Monsieur prendra son du le soir, quand après m'avoir fait boire et fumer je me retrouverais alanguie dans ses bras devant un porno tout ce qu'il y a de plus alléchant. Pas vu le deuxième film, je ne saurais pas dire si les étudiantes des institutions russes sont de bonnes élèves ou pas. Par contre Yasmine a ramassé sévère... C'est donc vidée (et remplie aussi...) que je regagnais mon lit, suivie de mon cher et tendre, pour dormir d'un sommeil de plomb.

Dimanche matin, l'Homme m'a fait croire qu'il avait pas envie pour "garder ses forces", nous sommes allés louer un film après un p'tit dej copieux, manière de continuer sur la lancée. C'est là que çà a commencé à merder. Le synopsis annonçait "hommes soumis", et dieu sait que c'est quelque chose qui nous refroidis beaucoup. Alors soit je ne l'ai pas dit assez fort, soit il n'écoutait pas, quoi qu'il en soit, quand l'Homme s'en ai rendu compte il s'est mis dans une colêre pas possible. Qui est passée quand il a vu que en fait everything was ok, c'était surtout des femmes soumises...! Voilà comment on se retrouve à nouveau caressée, par un sadique qui fait durer le plaisir durant tout le film, les mains attachées... La vie est vraiment dure parfois... La vie, et le sexe de l'Homme aussi, qui présentait des signes de bonne santé tout à fait encourageants. c'est donc au fond de ma gorge que le dit sexe a fini, pour son plus grand bonheur et le mien. Au moment de rendre le film, j'ai eu l'honneur de me retrouver agémentée d'un charmant bijou, logé au plus profond de mes fesses, lesquelles risquaient forts d'être soumises à nouveau à une fessée retentissante à en croire l'Homme. Heureusement, je ne portais toujours pas de culotte, elle en aurait été trempée...

Seulement voilà, y'a eu merdage. N'ayant pas réfléchi, j'ai garé la voiture au mauvais endroit, l'Homme n'a donc pas pu avoir la pipe dont il rêvait dans la voiture. En plus j'avais fermé mon manteau donc pas de tripotages en conduisant. Deux choses qui ont mis l'Homme dans une telle colêre que la soirée s'est terminée ainsi. Fin du week end...

c'était donc un week end de rêve... ou presque...!

Dasnya-Sommer_8_whttp://dasniyasommer.de/

 

Publicité
Publicité
Commentaires
quand le chat n'est pas là.....
Publicité
Archives
Newsletter
Publicité