punition....
A 4 pattes, le dos cambré, les fesses offertes, les yeux bandés et les mains attachées. Fais toi attendre, longtemps. L'attente a çà de bon qu'elle permet à l'imagination de se mettre en marche. L'exitation augmente peu à peu, me sentir ainsi offerte à ton regard, cuisses écartées, indécente. Et toi, derrière, tu prends ton temps, tu profites, quelques légères caresses sur les fesses suffisent déjà à me tirer des gémissements. Mais tu aimes me torturer, tu t'éloignes et je t'entend quitter la pièce. Je reste là, offerte, je patiente en silence. Quand tu reviens je n'ai pas bougé, je suis sage, docile. Je sais déjà que je vais être punie, c'est pas la peine d'en rajouter. J'accepte ta punition, j'attends tes ordres. Ce soir je suis à toi, ton objet, ta chose. Les caresses légères reprennent. Mais ce n'est plus ta main. C'est un objet. Froid. Plat. Je sais, tu as été chercher la grande règle en bois. J'ai peur, mais mes reins se cambrent encore plus.
Ta main prend le relais et elle glisse entre mes cuisses. Je suis trempée. Maintenant tu le sais. Tu me fais la remarque et je rougis. Le premier coup claque alors que je me tortille pour échapper à ces doigts qui fouillent. Un ordre bref, le ton froid qui l'accompagne me rend vite plus sage. Et le deuxième coup tombe, bientôt suivi du troisième, du quatrième.... Mes cris résonnent au rythme des claques. Tu arrêtes et tu repars. Je reste là à nouveau. Tu me l'a dit, "ne bouge surtout pas".
Quand tu reviens tu m'attrapes les cheveux pour relever ma tête et c'est le bâillon qui vient couvrir ma bouche. La punition reprend alors de plus belle, mais c'est à présent la 
règle qui vient frapper mes fesses. Mes cris se sont transformés en gémissements étouffés, mes reins se creusent de plus en plus, à présent, c'est moi qui avance vers les coups, je les veux, je les désire. Rougis moi les fesses, marque moi comme on tatoue sa chienne, je suis à toi.
La suite cher Homme, c'est toi qui la décide, sache seulement qu'à ce moment là, je te suis soumise, mon corps est à toi, fais en ce que tu veux. Viens te vider dans ma bouche si c'est ce que tu souhaites, défonce moi le cul comme à la dernière des salopes, demande moi ce que tu veux, j'obéirai. Et si je désobéis encore... alors il te faudra me punir à nouveau...
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