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Mais à qui il parle? Mon coeur oublie un battement... Qui est là? J'amorce un geste pour enlever le bandeau, vite arrétée par les menottes. J'ai peur. Qui est cet inconnu? Sa main attrape mon menton en silence, m'oblige à lever la tête. Ses doigts caressent mes lèvres, j'ai envie de détourner le visage mais il me tient bien. Je sens les baisers de l'Homme dans ma nuque et Sa main qui continue de fouiller mon sexe. Les doigts de l'inconnu forcent mes lèvres. Son pouce va et vient dans ma bouche et, docile, je le suce avec envie. A ma grande surprise je commence à me laisser aller et à apprécier la situation.

Les mains de l'Homme remontent sur mes seins. Je sens mes tétons pointer à me faire mal. Mes reins se creusent encore lorsque je sens sur mes lèvres la caresse d'un gland. "Indécrottable petite suceuse!", dans un murmure l'Homme me donne son approbation, tandis que l'inconnu force doucement ma bouche. Un gémissement étouffé m'échappe, et j'avale ce sexe anonyme. Je suce, lèche et aspire, guidée par la main de cet homme qui appuie ma tête, jusqu'à me faire venir les larmes aux yeux.

L'Homme quitte alors mes seins pour redescendre vers mon sexe, brûlant, trempé et tendu vers Lui. Il me caresse, très peu, je me tortille déjà de plaisir, et alors que l'un me repousse, l'autre me bascule sur le dos. Je me retrouve allongée sur le canapé, cambrée par mes mains liées dans le dos. Instinctivement, j'écarte les cuisses, impudique, offerte. Les menottes à mes chevilles, les chaînes les relient aux poignets. Je ne peux plus bouger. Un bâillon me fait taire mes envies de révoltes pour peu qu'il m'en reste encore. "Je vais t'apprendre la patience, maintenant tu ne bouges plus, nous reviendrons quand je l'aurais décidé", c'est ainsi qu'Il me laisse, impatiente, excitée, avec pour maigre consolation une caresse sur la joue si douce qu'elle me fait venir des frissons. Je les entends qui s'écartent de moi, ils se parlent à voix basse mais je ne comprends pas un mot de leur conversation. Je sais qu'ils ne sont pas loin, je gémis sous mon bâillon, pathétique. Mon corps tout entier se tend, j'ai tellement envie, c'est insoutenable.

Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi, j'ai l'impression qu'il s'est écoulé des heures lorsque je sens quelque chose de dur caresser le haut de mes cuisses. Mon sexe s'ouvre de plaisir, je coule. Je devine que mon vibro vient d'être invité. Brusquement il me pénètre. Je crie, pas de douleur, mais de plaisir. Le jeu reprend. L'attente, la frustration, m'ont mise dans un état second. Le vibro fait ce qu'il fait de mieux, il vibre... je me tortille de plus en plus, je gémis mais le bâillon est toujours là. Mes mouvements deviennent saccadés, mes gémissements sont devenus des cris. Je sens monter l'orgasme. Et soudain mon jouet m'abandonne. Coupée en plein élan, le cri que je pousse est un cri de rage. Me voilà à nouveau seule, allongée, prisonnière. J'entends le déclic de notre appareil photo. J'ai l'impression que je viens de courir un marathon et je comprends que çà n'est pas fini.

Ils s'installent, l'un à ma droite, l'autre à ma gauche et viennent caresser mes seins de leurs queues dures. Ils se branlent sur ma poitrine. Je les veux. Tout en se masturbant sur moi, l'Homme effleure mes lèvres, meurtries par le bâillon. Il le baisse et j'aspire alors une grande bouffée d'air par ma bouche enfin libre. Mes gémissements de plaisir redeviennent sonores. Mais pas longtemps. Il vient remplacer le bâillon immédiatement pour que je le suce. J'en ai tellement envie. J'obéis, docile, soumise. Tout en soutenant ma tête de ses deux mains, Il baise ma bouche à m'en faire mal. Il fouille chaque recoin de mes joues, rentre, sors, rentre à nouveau jusqu'au fond de ma gorge. Pendant ce temps son compagnon de jeu s'amuse avec le vibro, il caresse mon sexe, puis mon anus. Je suis trempée de partout à présent, ouverte à toute pénétration.

L'Homme me libère les chevilles et la bouche, aussitôt remplacé par l'inconnu, pour basculer mon bassin le plus haut possible. Il cale un oreiller sous mes reins, mon cul est offert à sa vue, grand ouvert. Le vibro est calé dans mon sexe, Il l'éteint mais il le laisse me transpercer, présence dure et inerte. Son sexe vient appuyer doucement sur mon anus, il l'ouvre, il prend son temps. Je suce la queue qui baise ma bouche à son tour. Mes fesses s'écartent de plus en plus, Il prend son temps. "Maintenant je vais te défoncer". Et d'un coup il m'empale. Je crie, étouffée par le sexe qui rempli ma bouche. L'Homme me défonce, l'autre sort de ma bouche, il se branle sur mon visage, je tends la langue pour lécher encore ce sexe inconnu, j'en ai trop envie, mais il me l'interdit. L'Homme grossit encore dans mon cul, il va jouir je le sens, çà m'exite. Je crie désormais, libre de tout bâillon. Le sexe sur ma figure se fait plus dur, plus violent, et tout d'un coup, un râle, le sexe me crache au visage tout son foutre, je sens venir mon orgasme. L'Homme se fait plus puissant aussi, ses doigts agrippent mes cuisses et au moment où il remplit mon cul de son sperme, tous mes muscles se bandent dans un dernier cri et l'orgasme m'emporte.

Mon corps bascule sur le côté, en chien de fusil. Je n'ai plus de force. L'Homme me murmure des paroles douces à l'oreille mais il ne me détache pas. Je lui demande pourquoi, d'une voix tremblante, j'ai mal aux bras, je veux enlever le bandeau, qui est cet homme? Il ne répond pas, se contenter de me dire d'attendre un peu, de me calmer. J'entend le bruit de quelqu'un qui s'habille. Il part. Une fois la porte fermée, je suis libérée en deux secondes. Le bruit d'un briquet, l'odeur d'une cigarette, j'ouvre les yeux vers Lui. Il me regarde en souriant:"clope?". Je souris, je suis amoureuse...

fantasme 2

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